Heureuse année 2013
Elle
est revenue, la saison des vœux. Echange de souhaits. Les meilleurs. Il ferait
bon voir que je t’adresse mes pires vœux !
Cette
année, j’ai réfléchi. Pour une fois, me diras-tu, ce n’est pas trop tôt !
A
quoi ça sert que je te souhaite une bonne santé ?
Bien
sûr, c’est ce que j’espère pour toi. Mais, hélas, je n’y peux rien.
A
quoi ça sert que je te souhaite du boulot, de l’argent et toutes choses
matérielles qui, certes, rendent la vie agréable mais ne sont peut-être pas les
conditions du bonheur ? Je ne peux pas faire grand-chose pour toi dans ce
domaine. Sinon, crois-moi, je ne me déroberais
pas.
Alors
je te dis simplement : « Je pense à toi et j’e souhaite que tu penses
un peu à moi aussi, de temps en temps. Je forme le vœu que tu trouves en toi le
chemin de la lumière qui éclairera toutes choses de manière positive. Même
lorsque tu traverseras des épreuves. Cette abeille sur la fleur de mauve, au
long de la voie verte, à Rocheville, dans le Cotentin, vit aussi de lumière.
Petite et modeste, elle est essentielle à la vie. Contre vents et marées, elle
butine et poursuit son existence d’insecte laborieux, inlassable, infiniment
utile au monde. Peut-être aussi est-elle, à sa manière, une indicatrice du chemin
du bonheur. »
C’est
ce chemin que je te souhaite ardemment de trouver. Mon vœu le plus cher c’est
que tu voies clairement au long de 2013
les indices qui te conduiront sur cette route.
Guy