Ami visiteur, sois le bienvenu !

Cette fin d'année est propice, je veux le croire, à la manifestation du désir de donner une suite à cette entreprise balbutiante depuis trop longtemps.
Peut-être l'année 2012 me permettra-t-elle d'aller plus loin et de rencontrer mes amis !
A bientôt !

mardi 15 octobre 2013

Rétrospective sur 2013

Entre janvier et juin la maison a fait peau neuve.

Dans la cour, on fait un puisard. Alain, Daniel et quelques autres sont à l’œuvre.
 La Guitoune est réaménagée aussi.
 L'entrée est cloisonnée. L'atelier des Dames est rénové.
 La cuisine, rénovée, se fait plus petite pour laisser place à une salle d'eau.
Pas très grande, la salle d'eau, mais elle sera belle.

Réflexion sur la notion de travail. (Albert Jacquard - Mon Utopie)

Oui, j'ai été heureux de lire ce passage du livre d'Albert Jacquard "Mon Utopie". Car je suis souvent passé pour un doux rêveur pour ne pas dire un personnage un peu frappé de folie en prétendant ne jamais (ou presque jamais) avoir travaillé dans ma vie. Alors avoir la caution d'Albert Jacquard, c'est beaucoup mieux que tout ce que j'aurais pu imaginer, désirer, espérer !



« Pour ne pas être victimes de mots ambigus, il est préférable de réserver le mot travail aux activités qui correspondent à son étymologie, celles qui peuvent être assimilées à une torture car elles résultent d’une soumission face à une nécessité, ou face à une autorité. Et d’employer d’autres termes, par exemple le mot « activité » ou le mot « action », pour les actes que nous exécutons volontairement au nom de l’adhésion à un projet, même s’ils provoquent de la fatigue ou de la lassitude.
Avec cette convention il faut admettre que, par exemple, un instituteur, un professeur, participe à de nombreuses « activités » mais ne « travaille » que rarement. Il s’efforce d’accroître ses connaissances, d’améliorer sa compréhension, de la faire partager par ses élèves, il les aide à mieux formuler leurs interrogations, il intervient dans la construction de leurs intelligences. Mais, en fin de journée, quelle que soit la fatigue accumulée (et elle est souvent grande), il n’a pas fourni de « travail » ; il a été actif en vivant des rencontres.